La richesse des Hommes solidaires

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La richesse des Hommes solidaires
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La richesse des Hommes solidaires

Un laboratoire vivant, 

une économie de la coopération et de l’équité,

des activités locales menées en intelligence collective.

Ce dossier présente notre organisation en intelligence collective vers un modèle économique et juridique équitable et respectueux de ses acteurs.

L’organisation idéale est une organisation qui rend l’être humain heureux et notre projet est avant tout une expérience au cœur de l’humain.

Le pilier central de tout ce projet est, au quotidien et par l’ensemble du groupe, la prise en compte et l’accompagnement de tout ce qui relève du facteur humain. Sa gestion est délicate mais permet de révéler ce qu’il contient de précieux.

Ce sont nos aspirations individuelles à être acteurs d’un avenir que nous souhaitons partager et construire, qui nous réunissent.

Cette intention qui nous rassemble, nous l’avons co-écrite.

Une expérience grandeur nature

Au jour le jour, dans toutes ses activités et en chacun de ses habitants, notre éco-hameau incarne l’ambition de progresser vers ce que nous nommons une Autonomie Intégrée à l’Écosystème et au Territoire

Il s’agit d’une démarche qui consiste à promouvoir une prospérité durable via le développement de solutions techniques et humaines, visant l’autonomie à une échelle locale, tout en participant à l’équilibre de l’écosystème naturel et à la coopération entre les acteurs du territoire.

Pour mener cette expérience grandeur nature, nous établissons des partenariats avec différents acteurs de la recherche fondamentale et appliquée, en mettant à leur disposition un Laboratoire Vivant qui se fixe quatre objectifs de recherches [Cf. page ETUDE et RECHERCHE ] :

  • L’étude et le développement de solutions techniques durables auto-productibles (énergie, architecture, agriculture).
    • Production, stockage et consommation d’énergie renouvelable
    • Conception, fabrication d’outils et machines (impression 3D, conception modulaire, open hardware, …)
    • Agroécologie, Agroforesterie
    • Habitats réversibles à faible impact et respect de la biodiversité, continuités paysagères, ruissellement, faune, flore
  • L’étude et le développement de solutions humaines pour la coopération, la co-responsabilité et l’économie solidaire.
    • Gouvernance partagée / coopération / intelligence collective
    • La co-responsabilité comme principe d’organisation
    • La co-responsabilité comme principe de partage des richesses
  • L’évaluation de l’impact local et sur la qualité de vie.
    • Etude d’impact sur la biodiversité locale, sur la qualité des sols
    • Quantification de notre empreinte écologique
    • Evaluation de la qualité de vie des habitants
  • La théorisation de l’impact systémique.
    • Les conséquences écologiques globales, économiques et politiques de l’Autonomie Intégrée à l’Écosystème et au Territoire

Un comité scientifique pour encadrer cette recherche

L’organe central de ce projet scientifique est le Comité Scientifique, composé de personnalités venant d’institutions scientifiques, académiques et associatives. Il inclut également les habitants de l’éco-hameau. Il se réunit une fois par an pour définir la stratégie de recherche, constituer les groupes de travail et rédiger un rapport annuel [Cf. Dossier ETUDE et RECHERCHE en annexe]. 

Les fonctions du Comité Scientifique sont d’évaluer nos résultats, de conseiller les habitants, de piloter des programmes scientifiques, et de transmettre des connaissances établies (Cf. figure ci-contre)

Partenariats établis

Nadège Troussier – ingénieure, Laboratoire CREIDD, Université de Troyes

Pascal Stouffs – ingénieur, Laboratoire de Thermique, Energétique et Procédés, Université de Pau et des Pays de l’Adour

Sandro De Gasparo – ergonome, Laboratoire ATEMIS

Margot Pluen – écologue naturaliste

Damien Toublant – ingénieur agronome, Bordeaux Sciences Agro

Jacques Thomas – coopérative Rhizobiome

Cécile Schwartz – économiste, Campus de la transition

André Pouget – ingénieur, impact carbone, Campus de la transition

Florence Drouet – ingénieure, low-tech, Campus de la transition

Pierre-Jean Cottalorda – économiste, Campus de la transition

Mathieu Zimmer – géographe-urbaniste, urbaniste chez deux degrés

Nicoleta Schiopu – ingénieure recherche (CSTB) 

Aline Brachet – ingénieure recherche (CSTB)

Jacques Pouyaud et Vincent Angel – Psychologie du travail et des organisations à l’Université de Bordeaux.

Alexandre Dubor – chercheur en architecture et robotique (IAAC)

Hervé Goulaze – Paysage et Histoire – (UMR Passages)

Louis Sicard – ingénieur agronome, Solagro

Alain Boissy – Directeur de recherche INRA, Directeur du Centre National de Référence pour le Bien-Etre Anima

Une gouvernance partagée, en intelligence collective

Coopérer ? Effet de mode ou co-construction de ce qui fait l’humanité ?

Dans tout projet impliquant plusieurs personnes, la gouvernance est un élément majeur pour se donner les moyens de réussir ce qui nous réunit. Construire dans la durée nécessite une attention toute particulière à penser et organiser notre « faire ensemble ».

Ce sera l’ensemble des règles relationnelles et organisationnelles qui permettront de répondre aux questions que posent tout projet collectif.

Convenir d’un mode de prise de décision claire est un atout de taille pour un groupe qui construit un projet d’éco-hameau : c’est nous mettre d’accord afin que nos décisions se transforment en une énergie d’action collective puissante.

Qu’est-ce qu’apporte une Gouvernance comme la nôtre à une organisation ?

En quoi elle est porteuse de Transition, Coopération, Résilience, Humanité…

Notre Gouvernance, s’inspirant des modèles de la Sociocratie et de l’Holacracy, part des constats suivants dans les modèles de l’organisation classique, hiérarchique :

  • Dissymétrie, non équivalence entre les acteurs 
  • Difficulté à pouvoir partager sa parole, ses idées, ses élans
  • Démobilisation par manque de concertation et de possibilités d’implication
  • Prise en compte partielle des enjeux par des cloisonnements 

Une démarche de transition suggère une approche pragmatique, une transformation progressive de chaque acteur et de sa relation aux autres, en partant pour chacun d’eux de ses propres contraintes et de ses propres projets, en entrelaçant les récits singuliers pour devenir peu à peu un grand récit partagé. Cet apprentissage est aussi une construction progressive de la confiance en soi et dans les autres, qui est la condition du pouvoir d’agir.

La Gouvernance partagée que nous pratiquons, telle que développée depuis 10 ans par l’Université du Nous, suit une démarche pragmatique qui s’appuie :

  1. Sur l’intelligence collective : 
  • Basée sur l’existence du potentiel individuel de développement d’une posture “optimale” de coopération, dès lors que le cadre de sécurité individuelle est co-construit et appliqué
  • Engendrée par la dynamique collective impliquant que chacun soit à même de comprendre et prendre en compte les contraintes (les besoins) et les objectifs (les élans) des autres
  • Favorisée par l’écoute et le développement des compétences de chacun à exprimer son vécu et ses besoins individuels
  • Nourrie par l’intention de co-construire ce qui fait sens et nous rassemble, au travers de valeurs communes, de besoins convergents, dépassant les intérêts individuels… 

Écouter attentivement ce qui émerge du groupe au-delà de l’expression de chacun de ses membres, c’est considérer que chaque personne a sa vérité et que personne ne détient LA vérité. Alors le cercle sera d’autant plus riche que chacun dispose d’une facette de la résolution de la problématique qui est au centre.

L’écoute du centre invite ainsi chacun à écouter ce que l’autre a à offrir dans une posture de coopération, en lâchant son point de vue (potentiellement divergeant) sur la question et en essayant d’entrevoir en quoi ce qui est dit peut servir le sujet commun.

L’écoute du centre repose sur l’implication de chacun à nourrir le centre, c’est à dire d’aller, lors de son tour de parole, écouter « ce qui est juste » en soi, participer de façon active, précise, argumentée de sorte à éclairer, apporter de la matière à la construction commune.

  1.  Sur des Outils d’organisation et de décision
  • Un fonctionnement en Cercles et en Rôles.
  • Un mode de pilotage dit “agile”: les ordres du jour des réunions des différents cercles s’appuient sur les “tensions” vécues dans le réel par les parties prenantes. 
  • Un processus de décision basé sur la force de l’intelligence collective, nommé “la gestion par consentement” à zéro objection.

Notre gouvernance partage avec le vivant les mêmes principes d’interdépendance, de coopération et d’entraide qui permettent l’équilibre entre les écosystèmes

Réflexivité: la Gouvernance fait l’objet d’une observation et remise en question permanente par ses parties prenantes à travers des réunions mensuelles invitant à affiner ou adapter les pratiques organisationnelles et décisionnelles.

Les êtres humains peuvent être bons pour la planète. Toute l’intelligence dont nous avons besoin est déjà là.

Modèle économique expérimental : Coopération et équité

Pour l’accessibilité au logement, l’équité sociale, la solidarité financière, l’entraide et la coopération, être acteur et garant de nos choix de vie.

  1. MONTAGE FINANCIER DU PROJET

Répartition du capital social de La SCIC (à l’IR)

Le capital est un capital variable et décorrélé du prix du foncier.

Faisons ce scénario par exemple :

  • Un foncier de 700 000€ (avec bâtis)- Un groupe de 35 adultes – Chaque adulte a un apport différent entre 1000€ et 200 000€. Le total des apports à la SCI est de 900 000€.

Nous avons décidé que :

  • Le montant d’une part sociale est fixée au montant du plus petit apport. Dans ce cas 1000€.
  • Chaque habitant a le même nombre de part. Dans ce cas 35 adultes ont une seule part de 1000€, ce qui établi un capital de départ à 35 000€.
  • Les 865 000€ restant sont inscrits aux comptes courant d’associés.

Nous avons donc une SCIC qui a un capital de 35 000€ pour 35 actions et 35 actionnaires, et des comptes courants d’associés créditeurs de 865 000€ à rembourser. Cette SCIC a 700 000€ d’actif (la valeur du foncier et bâtis) et démarre avec 200 000€ de disponibilité de fonctionnement.

Nous pouvons décider statutairement de la possibilité d’augmenter progressivement le capital si la SCIC en a le besoin, par exemple jusqu’à la valeur du foncier 700.000€ au fur et à mesure que l’ensemble des actionnaires sera en intention et en capacité d’acquérir de nouvelles actions. Si un habitant achète une action, chaque habitant achète aussi une action : soit en débitant son compte courant d’associé, soit en apport numéraire personnel.

L’intention est que le capital social n’ait pas vocation à augmenter et que les comptes courants d’associés soient remboursés par les résultats à venir.

Dans tous les cas, le montant du capital ne dépassera pas le montant des biens immobiliers de la SCIC, soit dans notre exemple 700 000€, ce qui implique qu’au maximum nos associés habitants, actionnaires statutairement à parts égales, ne pourront pas avoir plus de 20 000€ de capital soit 20 parts sociales.

A moyen/long terme, tous les comptes courants d’associés seront remboursés et chaque habitant sera propriétaire d’un même nombre de part pour chacune des deux sociétés.

La SCIC reçoit les participations aux frais et provisions des habitants, les loyers de la SAS et de l’association.

Répartition du capital social de La SAS (à l’IR)

Nous sommes tous actionnaires en parts égales.  

SAS à petit capital, par exemple 3500€ = 100 actions à 35€..

  1. MONTAGE ÉCONOMIQUE

Statut social des habitants

Dans les trois structures juridiques, SCIC & ASSOCIATIONS, les activités sont faites soit par les habitants en tant que bénévoles ou en tant que prestataires de service micro-entrepreneurs, soit par des prestataires extérieurs non habitants.

Trois structures juridiques pour plus de solidarité

Pour privilégier la simplicité et l’efficacité à atteindre des objectifs économiques solidaires et équitables, tout en favorisant la régénération de la biodiversité, la qualité de vie et la transmission.

La SCIC de l’Oasis du Coq à l’Âme pour le foncier et les activités économiques :

  • construction des bâtis
  • entretien des bâtis
  • Formation/conseil (gouvernance / énergies / autoconstruction)
  • Eco-gîte / Location de salles

L‘Association des Habitants du domaine d’Echoisy

  • organisation de la vie quotidienne en éco-hameau
  • participation à l’expérimentation scientifique
  • accueil pour sensibilisation en séjour immersif

L’ASSOCIATION de l’Oasis du Coq à l’Âme :

  • Ferme associative du “Coq à l’Âme”
    • Exploration de modèle agro-écologique de production avicole / céréales / bambou / vergers / champignons / maraîchage / plantes aromatiques
    • Ateliers de sensibilisation péri-agricole à la biodiversité et aux pratiques de production écologique, éducation populaire via les visites, la sensibilisation, la formation et l’éducation au manger sain, l’accueil et l’éco-tourisme à la ferme
    • Transformation et Restauration rapide à partir des produits de la ferme
    • La Boulange
  • Recyclerie- repair café et repair vélo
  • Sensibilisation aux 5R du zéro déchet (Refuser – Réduire – Réemployer – Recycler – Redonner à la terre), au gaspillage alimentaire, au “faire soi-même”, à l’éco-construction, aux énergies renouvelables
  • Activités culturelles (ludothèque/photo), spectacles, festivals

L’Activité d’Etude, de Recherche et du Comité Scientifique est transversale

Répartition de la richesse et des activités : 

La co-responsabilité

Pour être acteur de notre mode d’organisation sans en conditionner l’accès financier, pour que la richesse monétaire que nous produisons soit là où il y en a le plus besoin plutôt que basée sur qui mérite le plus ou arrive le mieux à la capter.

L’art de cette co-responsabilité réside en notre capacité à pondérer les besoins de manière à ce que tout le monde soit respecté et tranquille. C’est la sobriété heureuse pour soi, respectueuse de l’autre.

La co-responsabilité se traduit par la capacité à partager en conscience la responsabilité de ce qui advient, que les résultats soient positifs ou négatifs.

Dans une organisation agile et responsable, les co-responsables sont ainsi garants du climat et de la dynamique relationnelle dans lesquels se vit leur collaboration, en écoute de soi et en coopération avec les autres. 

La co-responsabilité favorise la synergie, l’émulation, la solidarité, la confiance et l’efficacité.

La co-responsabilité financière

A périodicité déterminée ensemble, la répartition des richesses générées par les différentes activités de l’éco-hameau a lieu selon les principes de la co-responsabilité financière :

L’ensemble des habitants se réunit en cercle autour du total de la richesse produite durant cette période.

Sont affichés :

  • le total des richesses produites
  • le total des coûts induits et des réserves nécessaires (investissements, travaux, taxes, trésorerie, fond de réserves…), des prestataires extérieurs qui ne souhaiteraient pas être compris dans la répartition en co-responsabilité (si nous envisageons cette possibilité)
  • et, pour information, le total individuel des heures produites.

En fonction du bénéfice net (delta entre richesse produite et réserves + factures) le groupe décide d’une possible part à affecter à redistribution d’un montant fixe pour chacun.

En plus de cette possible part fixe, le groupe échange sur ce qu’il pressent des besoins de chacun et des structures juridiques et chaque habitant peut dire son besoin et sa situation du moment :

  • Chacun répartit une portion de la richesse devant qui cela lui paraît juste
  • La répartition se poursuit jusqu’à ce que chacun sente que c’est une répartition juste
  • Chacun fait une facture aux structures concernées pour les montants reçus. Il déclare aux services fiscaux ces montants en tant qu’auto-entrepreneur-se et paie ses cotisations sociales.

Avantages que ce projet soit implanté sur ce Territoire

Ce site permet en tous points de répondre aux 5 invariants qui définissent les Oasis (les éco-hameaux dans la terminologie du réseau des Oasis du mouvement Colibris) :

Agriculture et autonomie alimentaire

Produire une nourriture sur un sol vivant, respectant l’équilibre spontané que nous offre la biodiversité. Utiliser des techniques comme l’agroécologie et la permaculture et s’appuyer sur le savoir-faire d’agriculteurs maraîchers.

Sobriété énergétique et Éco-construction

Viser le zéro-impact, c’est à dire repenser nos besoins en énergie et construire des habitats passifs et positifs, totalement intégrés dans l’environnement naturel. Créer un mix énergétique propre avec une vigilance en tout point sur les énergies grises et les gaz à effet de serre.

Si, contraints, nous devions quitter les lieux, nous aimerions laisser la nature qui nous a accueilli en meilleur état que nous l’avons trouvée en arrivant. 

Mutualisation

Un modèle économique coopératif, la mutualisation des biens, des savoirs, de la joie et du faire-ensemble. Le respect des communs autant que de l’individuel.

Une gouvernance partagée et respectueuse

Une gouvernance qui permet de développer notre co-responsabilité et de mettre le pouvoir de l’intelligence collective au service du succès de l’organisation.

Nous sommes tous co-responsables des décisions à prendre, des décisions prises et de leur application.

L’accueil et l’ouverture sur le monde

Formations, accueil, transmission, partage, en interaction et complémentarité avec le Territoire…

Nous sommes acteurs de l’économie locale, lieu de ressources et d’expérimentation de méthodes novatrices pour contribuer à un monde plus résilient et à l’essaimage d’autres initiatives.

Nous avons déterminé des critères nécessaires à la réussite du projet qui nous guident dans le choix du lieu d’implantation :

Critères de réussiteAdéquation du lieu
Superficie nécessaires à l’activité agricole : minimum 30 haCe terrain est seulement de 25 ha, mais l’environnement nous permettra sans doute de trouver à implanter les céréales sur des parcelles voisines ou à collaborer avec des agriculteurs locaux.
Adéquation de l’offre et tarifs indicatifs de la SAFER : 7.940€/haPrix total du domaine d’Echoisy est de 800 000€ (frais compris). Prix élevé (pour un terrain agricole) mais compensé par la surface bâtie et le patrimoine présent.⚠️
Minimiser l’impact carbone des déplacementsLa gare de Luxé est accessible à 30min à pied et en 10 min à vélo.
Être ouvert sur le Territoire : facilement accessible et à moins d’une heure de Bordeaux.L’attractivité du territoire est en plein développement. Nous aurons à coeur  d’y contribuer. Nous développerons des moyens pour favoriser les mobilités douces et organiserons nos déplacements vers Bordeaux (réunion de famille et travail)⚠️
Disponibilité de l’eau pour le projet agricole.Le site présente des puits et surtout le fleuve Charente qui longe tout le nord du domaine. Le terrain légèrement en pente permettra de collecter les ruissellements dans de nouvelles retenues collinaires, ou cuves enterrées.
Biodiversité conservée et production Bio possible.L’absence de cultures depuis plusieurs années, nombreux fruitiers et les bois sur deux extrémités du terrain constitue un bon départ pour régénérer une biodiversité généreuse. Terrain vallonné qui favorise les microclimats. Participation à la compensation carbone du Territoire, par la plantation de nombreux arbres.
Absence de nuisance sonore (respect du bien être animal et humain)Il n’y a une nuisance sonore ponctuelle, en vent d’ouest, due à la Nationale et la LGV (passage furtif).⚠️
Présence de bâtis pour accueillir les activités de l’oasis et celles de l’extérieur (location de salle)Les activités et l’accueil gîte pourront être hébergés dans les batis existants. Les logements sont à rénover et d’autres habitats à construire.
Adhésion des collectivités territoriales aux objectifs de l’OasisLa communauté de communes Coeur de Charente a tout de suite adhéré à ce projet de dynamisation rural, en permettant tout particulièrement les aménagements nécessaires. L’intégration dans le PLU a été une preuve incontestable de leur soutien.
Autorisation de construire les habitations éco-construite, autonomes et résilientesLe projet a été intégré dans la réflexion du nouveau PLUI qui était en voie de finition. La zone de construction de bâtiments réversibles, ainsi que le zonage spécifique au projet de l’Oasis, rendent possible le projet.
Demande des consommateurs locaux de produits BioLa culture de la consommation local et bio reste à développer. Les initiatives de l’Oasis pourront contribuer à dynamiser l’économie locale.⚠️
Vente en directe possibleUn réseau à développer, avec de nombreux partenaires déja identifiés. Possibilité d’une boutique et d’un marché de producteurs, sur le domaine.
Possibilité de créer du réseau localLe milieu associatif a l’habitude de se donner rendez-vous le domaine d’Echoisy.
Accès aux moyens de communication modernesBonne réception des téléphones cellulaires. Fibre en cours de déploiement prochain.

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